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Le « commerce » de l’eau réunit un grand nombre de consommateurs, qui utilisent cette denrée à différentes fins, notamment domestiques, industrielles et agricoles. La gestion de l’eau à l’échelle des usagers, et la collecte des charges ou redevances s’y afférent, est un terreau favorable à la corruption. Cette Note U4 porte notamment sur les risques liés à l’interface prestataire-consommateur, qui comptabilise de petites, et cependant nombreuses, transactions et sur les moyens permettant aux donateurs de contribuer à enrayer la prétendue « petite » corruption. Cette dernière entraîne des pertes de revenus et sape la confiance des consommateurs. Elle pèse ainsi lourdement sur la rentabilité et la viabilité des prestataires de services.