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Les organisations non-gouvernementales (ONG), souvent en première ligne des activités d’aide au développement, sont amenées à gérer une part importante des fonds affectés à leurs interventions. On peut donc craindre des risques importants de corruption. Pourtant, parmi les bailleurs internationaux et les ONG, peu ont pour l’instant adopté une stratégie intégrée de gestion de ces risques de corruption. Le présent rapport, qui se base sur une analyse des systèmes employés par quatre organismes donateurs et quatre ONG internationales, propose un certain nombre de bonnes pratiques en matière de gestion des risques de corruption au sein des ONG.